Boulenger, Le Grand Siècle. « La Fronde, du nom d’un jeu enfantin et on n’eut pas tort car cette révolte fut un jeu, en effet une méchante comédie que la France se donna à elle même : on y vit les parlementaires jouer aux magistrats, les beaux seigneurs et les belles dames jouer à la guerre et à la politique, et même les bons bourgeois jouer aux soldats sur la place Dauphine et la place Royale ; il n’y eut que le menu peuple qui ne joua pas, en revanche, il paya : c’est son usage. »
Bientôt, en moins bref.