Sous vos yeux ébahis, un nouvel article (qui traite encore des mauvaises mœurs au XIXème siècle) (ferme cette page si tu en as marre de lire des histoires avec des bites/mains qui ne sont pas à leur place)
Cass.Crim. 25 mars 1843
Petit rappel, le texte qui suit est une analyse d’arrêt de la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation. Ici, il s’agit d’un arrêt rendu le 25 mars 1843.
- Les faits :
C’est donc l’histoire pas drôle de Marie-Victoire. A la base, ça allait. Elle avait un père et une mère (un papa, une maman) et puis son père est mort. Ça déjà, c’est triste. Sa mère, Élisabeth, décide de se remarier. Elle choisit pour légitime et tendre époux Pierre. Désormais, en vertu de l’article 215 du Code Civil de 1804, toute la petite famille vit dans une coquette maison dans l’Hérault. On entend les cigales chanter et on y boit de l’eau de la Salvetat. Ils sont bien là, en famille. Jusqu’au jour où Pierre se rend compte que la petite Marie-Victoire, qui a un peu moins de 15 ans, a les seins qui poussent et un cul bombé. Alors, il décide -sans penser à mal hein- de la tripoter, tranquille.
Marie-Victoire en parle à sa mère. Elles sont bien véner’ et vont porter l’histoire devant la justice.