L’histoire de la pâtisserie : Et si les Tartinades avaient existé au XIXème siècle ?

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L’histoire de la pâtisserie

La pâtisserie est connue dès l’Antiquité. Bon, c’était pas top funky… Après avoir mangé, les mecs se confectionnaient des petites galettes avec de la farine, de l’huile et du miel. C’était le dessert. Le petit bonus auquel ils accordaient beaucoup d’importance puis que de nombreuses offrandes de ces galettes étaient faites aux dieux.
Au Moyen-Age, on cuisine surtout de la viande. Du coup, pâté en croûte (viande, poisson, et parfois à base de fruits) et autres fouaces et sortes de gaufres font la joie des plus gourmands ! On est encore loin de notre mille-feuille mais les choses vont changer au XVIème siècle. Et oui, les explorateurs vont apporter le sucre de canne et des denrées exotiques (le cacao, les épices…).

 

Après le sucre de canne

L’Italie devient le berceau des confiseries ! Les confitures et la pâte d’amande sont à la mode. En 1654 c’est la Révolution du sucre, avec la sortie du livre Le pasticier Francois.  On fait des meringues, des choux et autres trucs trop bons qu’on garde pour la fin du repas. Vers 1700, on commence à mettre du chocolat dans les biscuits (meilleure idée du monde).

A Versailles, ça dégouline de pièce montées, de biscuits à la violette, au jasmin, de chantilly, de sucre. Au XIXème siècle, les pâtissiers s’installent à leur compte, et petit à petit, la pâtisserie se démocratise. Le menu peuple veut aussi manger du sucre. Y’a pas de raison que ce soit réservé aux plus riches. Continuer la lecture

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La sexualité du Moyen-Age en cinq points

La sexualité a toujours existé. Et ouais messieurs-dames, j’ose espérer ne rien vous apprendre. Quitte à ce que nombre de lecteurs viennent dire que ce blog est vulgaire par son contenu, aujourd’hui et les jours à venir, on va parler … Continuer la lecture 

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Jeanne Laisné, la femme et la hachette

Le règne de Louis XI a connu moult péripéties. Avant même qu’il soit Roi, il cassait déjà quelques cranes. Lorsqu’il est Roi, il épargne deux vies et entre deux maitresses, en 1472, le Loulou lutte contre les troupes du Duc de Bourgogne qui ont tendance à ronger un peu son territoire. Après une grande partie de la Picardie, la ville de Beauvais semble perdue et tombe presque entre les mains de Charles le Téméraire.

En fait, c’est la panique jusqu’à l’arrivée de Jeanne Laisné.

Le siège de Beauvais par Charles le Téméraire

Le 27 juin 1472, Charles le Téméraire et ses troupes (environ 80 000 mecs tout de même) sont partis de Arras et attaquent la ville de Beauvais. C’est chiant. L’artillerie du Duc de Bourgogne est bien plus importante que celle de Louis XI. Du coup, ça pue un peu pour la défense… Surtout qu’il n’y a aucune garnison à Beauvais, et que le roi et ses troupes sont à Angers et c’est pas franchement à coté.

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La vraie histoire de la naissance de la Fête de la musique en BD

Salut l’internet mondial et de partout ailleurs, avec Estelle Vonfeldt on a pris quelques minutes pour t’expliquer la fête de la musique.

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Nous sommes dans les années 1950, André Henry est un prof et un syndicaliste super engagé. Il a 20 ans, est jeune, frais et plein d’espoir. Au fil des années, il s’intéresse à la politique: en 1974, il adhère au PS où il se fait plein de copains. Parmi eux, François Mitterrand. Et ça, c’est bon pour les affaires. Très bon. Mitterrand est élu en mai 1981.

 

Reconnaissant, le nouveau président de la République nomme André Henry au ministère du Temps libre. Une nouveauté gouvernementale avec la volonté d’organiser les loisirs et donner accès aux sports, aux vacances et aux activités extrascolaires aux plus jeunes. Le ministère a trois têtes: le ministre André Henry, une ministre déléguée (Edwige Advice) et un secrétaire d’État au Tourisme (François Abadie).

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Si tu as manqué la vraie histoire du Festival de Cannes, c’est aussi sur Slate : ici !

 

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