Les recettes d’Albert le Grand pour une vie sexuelle épanouie (ou le contraire)

Après avoir étudié la contraception de manière assez générale à travers les siècles, j’ai décidé de partager avec vous quelques astuces, recettes et autres croyances on ne peut plus étranges d’Albert Le Grand. Un théologien, chimiste du XIIIème siècle. Né quelque part sur le territoire de l’Allemagne actuelle, il est mort à Cologne en 1280. Albert le Grand s’est particulièrement intéressé à la nature, aux animaux, aux végétaux, mais aussi à la fécondité et au sexe.

Albert le Grand nous donne divers conseils pour couper le désir, la procréation -ou au contraire l’amplifier.

Accrochez-vous.

Pour empêcher la procréation, il faut boire du sang de lièvreBon, je vois pas comment, ça pourrait empêcher quelqu’un de pécho. A moins que le couple, lorsqu’il a envie de coïter, décide de partir à la chasse au lièvre et ne rentre que quelques heures plus tard. Éreintés, après avoir bu un verre de sang de lièvre, les époux vont se coucher. Pas de sexe. Sinon, tu peux aussi boire de l’urine de moutonJ’ai pas d’explication. Mais si ton mec ou ta meuf a une haleine d’urine de mouton je peux comprendre que tu n’acceptes pas de lui rouler des pelles, et plus.

N’ayant aucune explication rationnelle (les animaux sont plein de symboles au Moyen-Age), je vous laisse avec les recettes de notre copain Albert  :

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Marie Curie, femme savante mais pas seulement

Salut l’internet de France, de Navarre, et d’ailleurs. Aujourd’hui je vous propose le portrait d’une femme que l’on connait tous mais dont on ne sait pas grand chose. Marie Curie. Deux fois Prix Nobel. Deux fois mère. Toute sa vie, … Continuer la lecture 

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L’impératrice Joséphine, ou le fantasme de la vie de Reine

Joséphine c’est la femme de Napoléon Bonaparte, elle a été sacrée impératrice en 1804, alors pourquoi je te parle d’une vie de reine ? Avec Frisotte on s’est penchées sur le sujet, et je peux te dire que la meuf, elle aurait tout donné pour être Marie-Antoinette, vivre dans un vrai château, et avoir une super couronne. Oui. Tout. Revenons sur sa vie hors du commun.

Une enfant dorée au soleil

Le 23 juin 1763, sous le règne de Louis XV, une petite fille au nom très moche vient de voir le jour aux Trois-Ilets, en Martinique.

Marie Josèphe Rose Tascher de la Pagerie sera appelée « Rose » pendant toute son enfance, c’est mieux, enfin c’est moins moche… Quoique… En tout cas, c’est plus court. Ses parents, Joseph-Gaspard et Rose-Claire, se sont rendus en Martinique pour coloniser un peu l’île et pour exploiter une plantation de cannes à sucre. La famille est bien installée, elle a une cinquantaine d’esclaves à son service. La classe. Non ? Ah, pardon.

Rose a deux petites soeurs, dont Catherine Désirée qui va mourir à l’age de treize ans. Et c’est tant mieux pour Rose. Sa tante flirte avec un certain François de Beauharnais. Continuer la lecture

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Aktion T4, ou les soins psychiatriques selon les nazis

La psychiatrie avant le XXème siècle, c’était un peu compliqué. Dans la première moitié du XXème siècle, la psychiatrie va connaître un tournant. Faut dire qu’on fait la différence entre un handicapé physique/et ou mental et une personne atteinte de maladie mentale (les fous). C’est un progrès. En 1937, le terme d’asile disparaît. Désormais, les foufous sont enfermés dans des « hôpitaux psychiatriques ».

Depuis les années 1930, c’est l’heure de gloire des eugénistes. Ce sont ceux qui bossent sur les gènes, l’idée c’est pas de modifier les gènes pour rendre l’homme meilleur, mais presque. En tout cas, afin de pas prendre de risque pour l’efficacité de la race, ils vont mettre en place des programmes de stérilisation contrainte. Si déjà les cinglés peuvent pas se reproduire, c’est pas mal.

Avec le régime nazi qui se met en place quelques années plus tard, et la Seconde Guerre mondiale, j’aime autant vous dire qu’il fait pas bon être malade mentalement en Allemagne mais aussi partout en Europe.

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