Onan, le mec donne son nom à la masturbation

La Bible, j’aime bien ça, il y a plein d’histoires WTF, genre la vie d’Absalom (le mec pendu par les cheveux), la bite d’Abraham (et la circoncision), ou encore le massacre des Innocents (par Hérode). Aujourd’hui, on va parler de mariage en famille et de masturbation. Et c’est Slo Man qui illustre ! Soyez attentifs…

Une grande famille

Un beau jour, alors que Juda va se promener vers Adullam, chez son ami Hira, il rencontre une jeune fille, Schua. Elle est belle, fraîche, et il va lui faire trois gamins. Trois garçons. Le premier est Er, en plus d’avoir un nom pourave, il n’est pas très agréable. Le deuxième est Onan, il déteste son grand frère. Et enfin, le cadet Shéla est beaucoup plus jeune que les deux autres et son histoire nous intéresse peu. D’ailleurs même son père, Juda, n’est pas là à sa naissance. C’est dire…

Bref, Er est le premier des fils à se marier, c’est normal, c’est l’aîné. Il épouse Tamar, c’est le grand amour, mais elle ne tombe pas enceinte. Sans doute une punition divine, car Er est méchant envers l’Éternel. La Bible ne nous raconte pas si Er blasphème, s’il couche avec le village entier, s’il tabasse son frère Onan ou s’il fait de vilaines choses, mais un fait est certain, l’Éternel n’est vraiment pas content. Lorsque l’Eternel n’est pas content, il tue. Alors il tue Er. Et Tamar se retrouve jeune veuve, sans enfant. Et ça c’est moche. Heureusement, il existe une loi assez intéressante.

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La loi de descendance d’un frère mort

Selon la loi du lévirat (Deutéronome 25,5) lorsqu’un mec meurt et que sa femme n’a pas d’enfant, pour que la veuve puisse rester dans la famille, il faut qu’elle épouse un frère de son défunt mari. Déjà, l’idée est cheloue. Continuer la lecture

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Femmes de réconfort, les esclaves sexuelles du Japon

Aujourd’hui je vous parle prostitution, viol, kidnapping, esclavage. Rien que ça. Après le massacre de Nankin, les autorités Japonaises décident de mettre des femmes à disposition des soldats pour éviter qu’ils ne violent les civiles. Du coup, ils vont quand … Continuer la lecture 

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Marcel Petiot, le docteur Satan kidnappe et tue des juifs

La Seconde Guerre mondiale est un épisode bien riche de l’Histoire, parmi les choses qu’on connaît peu, ou pas, je vous ai déjà parlé des bordels mais aussi des prisonniers homosexuels dans les camps de concentration. Aujourd’hui, je vous raconte une petite histoire, une histoire qui a fait plus d’une vingtaine de morts. Au moins vingt-sept en fait. Peut-être soixante-dix… Mais rien d’institutionnel. Découvrez Marcel Petiot, encore surnommé : Docteur Satan.

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Marcel Petiot, une enfance… de cleptomane

Dès son jeune âge, le petit Marcel Petiot se fait remarquer pour quelques vols. Des trucs pas trop graves, mais du vol quand même. Le mec est né en 1897, à Auxerre. Faut avouer que c’est déjà pas facile… Dans une famille bourgeoise. Rapidement, les proches vont être un peu embarrassés par le comportement du gamin. Non seulement, il vole, mais en plus il est violent. Très violent. Envers ses camarades, sa famille, mais aussi les animaux. Enfin, c’est ce qui s’est dit après sa mort alors, sont-ce des faits avérés ou de simples balivernes pour alimenter la presse papier de l’époque ?

Toujours est-il que sa mère est internée en hôpital psychiatrique, où elle décède, alors que son père lui est muté à Joigny. Changement de collège pour Marcel Petiot qui a alors douze ans. Peu importe, il va se faire virer de plusieurs établissements pour manque de discipline. A dix-sept ans, on le prend la main dans le sac, enfin, façon de parler… Il est en train de casser des boites aux lettres, non dans l’espoir de récupérer quelques billets, mais plutôt pour voler les cartes postales et autres mots doux. Il ne sera pas condamné car un psychiatre le juge inapte. Il est atteint de trouble de la personnalité et il est clairement inadapté socialement. Sans doute est-il atteint de ce que l’on nomme aujourd’hui : la bipolarité.

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Et puis soudain, boum, la Première Guerre mondiale, Marcel Petiot prend la décision d’arrêter ses études de médecine pour s’engager dans l’armée. Continuer la lecture

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Priape, le dieu greco-romain au pénis géant

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Aujourd’hui, avec le talentueux UZU, on vous plonge dans la mythologie greco-romaine avec  Priape, dieu de la fertilité et de l’érection. Il existe diverses histoires autour de ce dieu, par exemple, on ne sait pas bien qui sont ses parents, mais d’une manière générale, une version de l’histoire est plus célèbre et c’est celle-ci que je vous raconte, je l’ai trouvé dans Histoires du pénis.

Une histoire de famille

Un beau jour, Dionysos et Aphrodite décident de faire un enfant, jusque là… Héra, qui ne l’aime pas beaucoup, jette à Aphrodite un sort en lui touchant le ventre avec une main maléfique. Mais la grossesse se passe très bien, et puis l’accouchement aussi ! Houra, it’s a boy ! Et quel boy ! Il a une bite géante sans cesse en érection. Pour un nourrisson ça ne passe pas inaperçu.

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Aphrodite en a terriblement honte, alors, elle ne s’emmerde pas et décide de l’abandonner dans la ville de Lampsaque, aujourd’hui c’est proche de Lapseki en Turquie. C’est loin d’elle, elle n’a ni à subir son gros pénis, ni son physique… Parce que le Priape, il n’a pas un physique facile.

Le physique disgracieux de Priape

Lorsqu’il est enfant, Priape est moche, vraiment, et lorsqu’il devient adulte : c’est pire ! On le représente comme un tout petit homme, petit et trapu (tout le contraire des critères greco-romains) prognathe, avec une grosse barbe et un pénis sans cesse en érection. Il est décrit comme difforme et d’une laideur honteuse. Continuer la lecture

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