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Raconte-moi l’Histoire victime de censure.

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Salut les lecteurs de Raconte-moi l’Histoire, un petit message pour vous dire que la page facebook du blog a été supprimée. Presque 15 000 personnes lésées. Pourquoi ? Je ne sais pas. Une publication ne respecte pas les conditions de publication. Ce peut être un téton qui dépasse, une paire de fesses ou je ne sais quoi. Je rappelle que le blog a un but éducatif, culturel, certainement pas des attentes érotico-pornographiques, alors je ne comprends pas la décision de facebook. Je vais voir s’il est possible de faire appel de la décision. Je l’espère. En attendant de je suis très triste de voir trois ans de travail réduits à néant. Je vais garder le même rythme de publication. Venez jeter un oeil tous les lundis et jeudis, il y aura du nouveau. N’hésitez pas à partager cet article, mais aussi tous les autres. Sans les lecteurs, Raconte-moi l’Histoire n’a pas tellement de raison d’exister.

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Shunga, pornographie et censure de l’art japonais

Aujourd’hui je vous parle d’un art lointain, dans le temps et l’espace : le Shunga. Il s’agit de gravures japonaises particulièrement populaires entre le XVIIe et le XIXe siècle. Ces gravures sont pour le moins explicites et représentent différentes façons de s’aimer. Elles immortalisent des scènes de cul quoi. C’est assez fascinant. Découvrez l’histoire du Shunga (tous les liens sont érotico-pornographiques, si tu as moins de 18 ans, va plutôt lire l’article sur les chats).

erotisme shunga

Shunga, ça veut dire quoi ?

Dans un premier temps, il est important de savoir que le Shunga est chinois mais va se développer au Japon pour devenir un art national. Comme le karaoké. Ou le hentai. En Chine, les dessins érotiques connaissent une cote de popularité dès le XIVe siècle et un point culminant au XVe. Si en Europe, à cette époque là, l’idée est de faire des sous-entendus, de ne rien dévoiler d’explicite (sauf peut-être Pierre l’Aretin), en Chine, à l’époque de Muromachi, on représente des scènes de sexe diverses et variées avec une caractéristique bien précise : la taille des organes génitaux. Ils sont juste : GÉANTS.

bite bleue shunga

Le terme japonais Shunga du chinois chungonghua, signifie : « images de printemps » et non « carte postale du cul » comme on pourrait l’imaginer. Mais le printemps est aussi la période la plus propice aux rapprochements et aux coïts, alors finalement, ça a du sens. L’autre nom donné au Shunga est makura-e soit « images sous l’oreiller » et là, tout de suite, on voit où on veut en venir. Continuer la lecture

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Le tome 3 « Les légendes médiévales » est en vente !

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