Dans cet article (revu et corrigé depuis sa première sortie en avril 2014), je vous parle de la prédiction (ou du simple hasard ? à vous de juger) de Nostradamus à propos de la mort du roi Henri II.
Nostradamus, l’astrophile (c’est pas sexuel)
Michel de Nostredame, dit Nostradamus, est né le 14 décembre 1503 en Provence. Il a une enfance plutôt trankil, il reçoit une bonne éducation et apprend plein de choses. A l’école ses copains parlent de lui en disant: « laetus, facetus estque mordax» (gai luron, joyeux drille voire un brin cynique), c’est un peu le Cyril Hanouna de l’école. L’intelligence en plus. Et puis, il finit par devenir médecin, et ça, c’est plutôt pas mal. Nostradamus tente de soigner la peste avec du vinaigre, ça désinfecte qu’il dit. Et c’est vrai.
Le mec il est astrophile, il kiffe les étoiles filantes, les astres et même les météores . A cette époque, c’est un peu à la mode, mais grosso modo, personne n’y pipe rien et surtout, tout le monde s’en fout. Nostradamus, lui, pense pouvoir prédire l’avenir en regardant le ciel. Du coup, si les étoiles disent qu’un malade va mourir, à quoi bon essayer de le sauver hein ? C’est son destin. Du coup, il est viré de l’université de Montpellier et il finit par ne pratiquer que l’astrologie afin de réaliser des prédictions sur la marche du monde. Avait-il prévu qu’on parlerait de lui encore en 2016 ?