Pour qu’on puisse toujours rire de tout, on continue d’écrire, de dessiner, d’être libre et de rigoler. Après avoir travaillé sur le sport et les femmes dans les années 1930 dans la revue la Culture Physique, j’ai décidé de travailler … Continuer la lecture
Tag Archives: sexe
Marie Angélique de Fontanges hante Versailles
Ce n’est pas un ange, c’est un fantôme ! Versailles est hanté ! Une nuit de l’année 1695, alors que Louis XIV vient de se coucher, il dort déjà à poings fermés. Il n’y a plus un bruit dans le … Continuer la lecture
Les plantes aphrodisiaques, celles qui font bander l’humanité
Aujourd’hui Internet, tu vas ranger tes enfants loin de l’ordinateur parce que j’ai pas envie d’avoir des problèmes. Je vais dire des mots qui veulent dire du sexe un peu. On va faire un rapide herbier numérique, on va classer ensemble les plantes qui réchauffent les coeurs, et autres.
Les plantes aphrodisiaques, d’hier à aujourd’hui
Le clou de girofle
Vous le savez tous, Jules César et Cléopâtre ont eu une relation, et de ce fait des relations sexuelles. Eh oui messieurs-dames, même sous l’Antiquité, les gens couchaient ensemble. Incroyable. Bref, Jules César a 30 ans de plus que Cléopâtre, et il faut bien la satisfaire la reine d’Égypte ! Alors le Juju, il n’hésitait pas à mettre un ou deux clous de girofle dans son vin chaud et hop, c’est parti pour une nuit torride. D’ailleurs, les mecs qui allaient dans les orgies romaines n’hésitaient pas à avoir recours à cette méthode. On n’est jamais trop prudent.
L’orchidée
Au Ier siècle, le médecin de Néron, Dioscoride, affirme que l’orchidée est une plante aphrodisiaque. Appelée « petit priape » du nom du dieu grec de la fertilité, toujours représenté en train de… enfin, clique…
L’artichaut
Catherine de Médicis n’a pas fait que rapporter la glace à l’italienne et les macarons à son arrivée en France pour son mariage avec Henri II. Non, elle a aussi ramené l’artichaut réputé en Italie pour réchauffer les personnes les plus glaciales. Aussi, sous Henri IV, les marchands s’écriaient dans les marchés « L’artichaut, le bel artichaut pour avoir le corps et le cul bien chauds ! ». C’est classe, hein ?
La tour de Nesle, lieu de débauche au centre de Paris
Philippe IV, dit le Bel, est un beau mec, bin oui, on obtient pas un surnom par hasard. Il est beau, grand, majestueux, super malin, mais pas tellement sympa. En fait, ça vient de là : le Bel. Il est belliqueux. Malgré tout, il est assez populaire et va réussir à marier correctement tous ses enfants.
Philou est né en 1268 et devient Roi de France en 1285, il va connaître de nombreux conflits avec le pape dès la fin du XIIIe siècle (il veut imposer au pouvoir temporel au pouvoir spirituel), puis va partir à l’assaut des Templiers. Depuis la mort de sa femme, Jeanne, en 1305 et sous l’influence de son défunt grand-père, Saint-Louis, le Roi de France passe pour un modèle de vertus et de chasteté. C’est pas le cas de tout le monde à la cour de France.
Les mariages politiques, ça manque d’amour (et de sexe)
Sa fille, Isabelle, épouse Édouard II, le Roi d’Angleterre. Son fils Louis épouse Marguerite de Bourgogne, petite fille de Saint-Louis. Les deux derniers fils, Philippe de Poitiers et Charles de la Marche épousent deux sœurs, Jeanne et Blanche d’Artois.
Politiquement, c’est super bien joué, le beau Philippe a réussi a s’imposer partout dans le territoire, et même à l’étranger avec Édouard II. Bon, malheureusement, malgré toute la bonne volonté d’Isabelle, Edouard II est homosexuel et elle est vite délaissée par le roi d’Angleterre.
Quant aux fils, Louis et Charles, ils ne s’entendent pas avec leurs épouses. C’est un désastre. Seul Philippe tente de sauver les meubles avec Jeanne d’Artois, c’est pas une franche réussite, mais ça tient.
Alors qu’elles ont été mariées très jeunes (entre 12 et 15 ans), les princesses Marguerite et Blanche s’emmerdent grave à la cour de France. Continuer la lecture